Cette recherche fait savoir qu'est ce qu'un miroir magique et son usage dans la therapeutie magique chez les musulmans. La chercheuse aborde l'étude de quelques miroirs magiques existants dans les différents musées mondiaux. A titre d'exemple le Musée d'Art Islamique du Caire, le Musée National du Kuwait, le Musée du Louvre à Paris ainsi que le British Museum à Londres.
La recherche entame avec détails les gravures sur les miroirs magiques, comme l'écriture, les carrés magiques, et leurs buts. En outre la recherche porte sur le rôle des planètes et des constellations tout en faisant la description détaillée de celles-ci. La recherche aborde de même l'importance des versets coraniques juxtaposés à l'écriture magique et leur rôle sur un miroir curatif. La recherche fait allusion à l'importance des noms des prophètes comme le prophète Muhammad accompangé des noms des califes musulmans comme le
calife All Ibn Abi Talib.
Dans cette étude on trouve quelques recettes thérapeutique magique tirées des sources comme "Sams al-ma'arif, de l'auteur al-Bünt et le livre "d'al-Rahma" de l'auteur yémenite al-Şunbari et d'autres. On peut conclure que l'usage du miroir curatif était répandu dans pas mal de pays arabes et employé sur une échelle individuelle chez les souverains comme Urtuq Šah et d'autres. La fabrication du miroir magique a subie
l'influence chinoise et celle de l'ancienne Egypte quant aux gravures.